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Mythe : Les alumineries ne font pas leur part pour réduire les émissions de GES

Avant même la mise en place du marché du carbone, l’industrie de l’aluminium investissait des milliards de dollars pour réduire ses émissions.

Elles sont passées de 6,24 tonnes de CO₂ par tonne d’aluminium en 1990 à 1,98 tonne de CO₂ par tonne d’aluminium en 2021. À ce niveau d’émissions, l’aluminium canadien est le plus écoresponsable au monde et émet en moyenne 6 fois moins de CO₂ que l’aluminium produit ailleurs dans le monde.

Ce faisant, notre industrie a pratiquement atteint la cible québécoise de 37,5 % de réduction de GES tout en augmentant sa production.

L’aluminium joue également un grand rôle dans la décarbonation du Québec et du marché nord-américain. L’aluminium permet notamment l’allégement des véhicules électriques. La demande pour l’aluminium continuera donc à croître de façon importante tout au long de la prochaine décennie.

L’aluminium est un matériau critique, un matériau d’avenir.

C’est dans cette même foulée que l’industrie, de concert avec les gouvernements du Québec et d’Ottawa, investit dans le développement d’une technologie révolutionnaire, le projet ELYSIS™️. C’est le plus important projet au monde visant une production d’aluminium zéro CO₂ grâce à un procédé à « anode inerte ».

Comparasion emissions de gaz à effet de serre par tonne d'aluminium