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Mythe : L’industrie de l’aluminium au Québec n’utilise pas efficacement les ressources énergétiques

Le Québec a fait un choix historique envers l’hydroélectricité et tous les gouvernements successifs ont mis en valeur cet avantage concurrentiel en misant sur l’industrie de l’aluminium.

L’industrie canadienne de l’aluminium fait une utilisation judicieuse et efficiente de son énergie.

L’intensité énergétique soit la quantité d’énergie requise pour produire une tonne d’aluminium (MWh/tm), s’avère être l’indicateur clé permettant une comparaison juste et adéquate.

• Le concept de productivité énergétique ($/MWh) cité dans certains rapports ne peut servir de base de comparaison, car il ne tient pas compte des spécificités propres à chaque pays ou filière industrielle et induit en conséquence un biais dans les interprétations.

• Les performances de l’industrie canadienne de l’aluminium en termes d’intensité énergétique se positionnent avantageusement à d’autres pays producteurs comparables soit l’Australie, la France, la Norvège, l’Allemagne, la Nouvelle-Zélande, l’Islande, les États-Unis, la Suède et la Russie.

Étant donné l’importance de l’intrant énergétique pour l’industrie de l’aluminium, des systèmes de gestion de l’énergie rigoureux sont déjà actifs dans tous les sites des alumineries. Ceux-ci sont similaires et basés sur les concepts mis en place par la norme ISO 50 001.

• La certification d’un système de gestion de l’énergie selon la norme ISO demeure une initiative volontaire pour démontrer la pertinence du système mis en place. Une première aluminerie québécoise a été certifiée ISO 50 001 l’an dernier.

Avec son intensité énergétique efficiente et sa faible empreinte carbone, la production d’aluminium est une filière stratégique et durable de classe mondiale pour le Québec.